Bruny Island (Tasmanie)

Bruny Island, c’était un des endroits où j’avais envie d’aller depuis que j’avais posé le pied en Tasmanie, pourquoi vous me direz ? A vrai dire juste une attirance pour l’endroit en lui même.

La Tasmanie en elle même est un monde à part et depuis que je suis revenue sur le « continent », je m’en rends encore plus compte. La Tasmanie est un repère pour les amoureux de la nature, qui viennent s’y installer pour profiter du calme et de la sérénité de l’île. Dès qu’on arrive en Tasmanie, c’est comme si on était sur une autre planète, on oublie les villes, on oublie le stress, on reste en émerveillement face à la nature et au calme qui règne sur l’île. Ici on fait attention à la nature qui nous entoure, on essaye de protéger au maximum les animaux et leurs territoires. On vit pour la nature en gros 🙂 et c’est en bougeant sur l’île que l’on se rend compte que non ce climat n’est pas seulement présent dans une ville mais sur toute l’île.

Bruny Island, c’est un peu cet esprit x 10 : le côté nature y est omniprésent et bien que l’économie de l’île repose essentiellement sur le tourisme, l’île reste fort heureusement encore très peu touristique (au contraire de la Great Ocean Road, article à suivre).

Même superficie que Singapour mais alors que Singapour compte 6 millions d’habitants, Bruny Island a à l’année une moyenne de 650 habitants… mais elle se rattrape avec sa faune : repère de petit pingouins (encore appelé manchots pygmées), des puffins à bec grêle (ça vous dit rien mais on l’utilise ici pour son duvet, sa chair et son huile), des wallabies albinos ou encore d’échidnés (sorte hérissons à long nez) 🙂

Quand on vous dit que Bruny Island est un paradis pour tout amoureux de la nature, qu’on peut y trouver des petits villages authentiques, qu’on peut y déguster des produits locaux comme huîtres, fromage, vin ou encore du saumon frais, on a une qu’une envie, c’est de s’y rendre : n’est ce pas ?

Ajoutez y le fait que de superbes randonnées le long des côtes ainsi que des plages au sable fin vous attendent, que vous pourrez admirez ne serait-ce que des petits pingouins ou des wallabies albinos, vous n’avez qu’une envie, c’est d’y être en vrai 🙂

Blog en anglais avec des photos de Bruny :

http://thetasteofbruny.com/about/

Mais même si l’endroit me faisait rêver, je n’aurai jamais imaginé la découvrir de cette façon. Etant donné qu’il faut prendre le ferry pour s’y rendre et qu’une voiture est généralement indispensable pour bouger une fois sur l’île, et que je n’avais pas de voiture et que dans le milieu des backpackers, Bruny Island n’attire pas vraiment, je m’étais faite à l’idée que ce serait une bonne excuse pour revenir un jour en Tasmanie 🙂

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Petit retour avant donc sur le comment du pourquoi nous avons réussi à découvrir cette merveille de la Tasmanie 🙂 avec Anna (la bretonne de mon dernier wwoofing, si vous suivez :))

Si la lecture de mon article n’est pas trop loin dans votre mémoire, vous vous souviendrez que nous avions fini la soirée avec Jo à Salamanca… (Jo qui nous avait pris en stop à la sortie du musée Mona)

Au fil de la soirée au « Jack Green » que je recommande fortement pour ses burgers et ses bières et son ambiance feutrée de l’étage, nous apprenons que Jo a deux boulot : un au musée de Mona (4 jours/semaine) et un à Bruny Island (3 jours) à la Cheese Factory de l’île… Il nous proposera quelques jours plus tard, si nous voulions l’accompagner pour les 3 jours qu’il y bossera. Nous pourrions découvrir l’île à deux la journée et se rejoindre après son boulot.

N’ayant finalement encore aucun plan fixe pour faire la côte est, et de se dire que non on ne risquait rien parce qu’on était 2, on saute sur l’occasion et on refait nos sacs 🙂 !!! A nous l’aventure 🙂

Rendez vous donné pour 6h du matin afin de prendre le ferry à Kettering à 7h (seul accès pour se rendre sur l’île). Le ton est donné pour le reste du séjour 🙂 Jo voulant que nous profitions à fond, il n’hésitera pas à nous déposer avant de commencer son boulot à un endroit stratégique afin que nous puissions faire du stop et découvrir l’île pendant qu’il travaillait. Nous prendrons avec Anna le strict minimum : de l’eau, de quoi faire un lunch en version pic nique, un peu d’argent et une veste.

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Nous étions parées pour notre première journée sur Bruny Island 🙂 avec toujours un grand sourire, ne croyant toujours pas la chance que nous avions. Le rendez vous fut fixé en fin d’après midi au spot de camping du Neck, qui est la jonction reliant les deux presqu’îles et qui est aussi le point d’observation des petits pingouins 🙂 !

Le Neck c’est aussi un « scenic lookout » comme ils disent aussi. Tu montes une centaine de marche pour arriver à un point d’où t’as tout simplement une vue magnifique sur le « neck » qui relie les deux parties de l’île.

the neck : vue du Neck en soirée

Sachant que le ferry ne passait qu’une fois par heure, nous décidâmes de marcher un petit bout le temps en attendant que le prochain ferry nous délivre de nouvelles voitures !

Ce sera finalement après le deuxième passage que nous trouverons quelqu’un qui nous prendra. Ne jamais perdre espoir, en Australie y’aura toujours quelqu’un qui s’arrêtera : cette fois là : un pur australien, que nous aurons beaucoup, beaucoup de mal à comprendre et qui nous déposera à Alonah, la grande ville de l’île. Enfin grande ville, c’est peu dire, c’est en fait la ville où il y a la petite supérette, l’hôtel faisant aussi restaurant et le bottle shop de l’île. (je rappelle qu’en Australie, l’alcool ne se trouve QUE dans des « bottle shop »)

DSC08512 : l’hôtel-restaurant d’Alonah

DSC08509  : je vous le donne en mille : la superette d’Alonah 🙂

Première journée qui sera marquée par notre pique nique improvisé sur la plage. Anna ayant apporté quelques surprises trouvés à l’auberge : poulet et cerises le tout venant du free de son auberge (*petite explication : dans toutes les auberges en Australie, il y a des produits « gratuits » à disposition de tout le monde. Celui qui part et qui ne veut pas emporter ses restes avec lui les mets dans le « free » et quelques fois on tombe sur des bonnes affaires comme cette fois-ci 🙂 bon en même temps lever à 5h30, c’est un avantage avec ceux qui ont l’avion tôt le matin !)

IMG_5101 :poulet, concombre, camenbert sur la plage : un pur délice 🙂

IMG_5085  = Sunset Bay

On finira notre journée en rejoignant le Neck avec une autre voiture qui se trouvait être un corbillard revisité en mode « voiture de surfeur » 🙂 et qui nous déposa devant le début d’une petite rando menant à 2 lagons et à une vue imprenable sur Miles Beach

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= les deux lagons légèrement desséchés

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Soirée divine au Neck en se baignant dans une eau transparente et calme, sans méduses, le tout autour de bières rafraîchies dans l’eau de mer en attendant la venue des petits pingouins qui est généralement vers 21h,!

IMG_5069 = afin d’éviter que tous les touristes n’approchent de trop près les pingouins et ne les dérangent, une passerelle a été construite, servant comme observatoire la nuit tombée.

Nous ne verrons finalement qu’une petite dizaine de pingouins venant nourrir leurs petits ce soir là, et ce à cause de gros bateaux de pêches ayant leurs « phares » en mode « pleine puissance » éclairant jusque la plage et effrayant les pingouins.

Peu d’endroits en Australie permettent d’observer les pingouins en milieu sauvage et encore moins gratuitement. En Tasmanie, 3 lieux nous le permettent : un à Bruny Island, un sur la côte est : Bicheno (celui ci est payant), et un au nord de la Tasmanie : Burnie. N’ayant pas le droit de prendre de photos avec de flashs ou de faire du bruit, de façon à éviter d’effrayer les parents pingouins qui ne reviendront plus nourrir leurs petits s’ils se sentent effrayés, je n’aurai malheureusement pas de photos à vous montrer de cette soirée. Les photos arriveront dans le prochain article du road trip avec notre stop à Burnie ;-).

Pour ceux que ça intéresse et qui parlent anglais : voici un petit topo que les rangers du Parc National mettent à disposition à l’entrée du Neck.

Pingouins Bruny

« World traveller »

The Southern Hemisphere’s most numerous bird species, short-tailed shearwaters (Puffinus tenuirostris) leave their sandy burrows at The Neck and other colonies along the coasts of south-east Australia and set out on an astonishing annual journey to the Arctic Circle and back. The 30 000 kilomette, six month migration begins in early April, and ends with the adult birds returning around late September – to the same burrows each year !

Breeding begins when pairs clear their old metrelong burrows or dig new ones. A single egg is laid, and the chick hatches in January.

Through summer, both parents work hard at sea each day to feed their growing offspring. When the adults départ, the chick stays in the burrow for two or three weeks, then begins its own first mirgratory light following its parent’s wingbeats.

« Stay-at-home »

Smallest of all penguins, the little penguin (Eudyptula minor) follows a regular daily Schedule, todding down to the sea each morning at first light, and returning home after darkness each evening. Some cimmute betwee, their burrows and the water all year round, althought most spend the winter months at sea

When they enter the waves, their quaint waddle becomes strong, purposeful underwater flight – they can dive to 60 metres seeking food, including small fish, squid or krill. Little penguins are superbly adapted for life in the ocean, but vulnérable to human impact on land  – Tasmania’s Parks & Wildlife Service takes active steps to protect this and other rookeries. Road kill and feral animals, especially cats, are the main threats to the ppenguins’s survival.

The Neck est aussi exceptionnel dans le fait que les petits pingouins et les puffins à bec grêle cohabitent ensemble. Ce qui est d’ailleurs assez amusant quand on comprend au son de l’un ou l’autre qu’un des deux se soit planté de nid 🙂

Imaginez que les pingouins arrivent de la mer tout doucement et qu’ils traversent la plage avec leurs pattes palmés jusqu’au nid pour y nourrir leur progénitures, le tout avec des petits bruits : à ce moment là le temps s’arrête, tu ne fais que les observer avec un grand sourire, ton cœur battant tellement tu n’arrives pas à croire le spectacle qui est devant tes yeux. C’était en tout cas mon état à ce moment là :), qui sera juste amplifié lorsque je verrai un ornithorynque lors de notre road-trip.

J’avais un but en venant sur Bruny Island, ou plutôt généralement en Tasmanie, c’était de voir des pingouins, autant vous dire que cette première journée sur Bruny Island ne fut qu’un pur bonheur. Et camper à 5 mètres de la plage avec le son des vagues en musique de fond, ce fut juste le comble du bonheur :).

Notre deuxième journée fut pluvieuse et marquée par une révélation qui je crois me suivra à vie. Petite entorse à cette règle qui veut que tu n’écrives sur ton blog de voyage que du rêve !

Notre tentative de rando à Adventure Bay où Jo nous déposa le matin avant de partir au boulot (il s’était révélé qu’il est un peu compliqué en faisant du stop de se rendre à Adventure Bay) tourna court, très court ayant malheureusement oublié le fait que les sangsues aiment l’humidité et les fougères !

Normalement quand tu fais une rando, tu ne regardes pas tes chaussures mais là où tu mets tes pieds, right ? Je ne me souviens pas comment j’en suis arrivée à voir que j’avais des sangsues mais le fait est qu’après la vision de grosses sangsues accrochées sur les jambes de notre ami photographe le dernier jour de l’Overland Track, voir plus de 10 sangsues (j’ai eu le malheur de les compter) sur chacune de mes chaussures m’a tout simplement rendu hystérique, voir parano! Même Anna en est restée scotchée et n’arrivait pas à me calmer avec l’impression que tellement j’en avais la hantise que j’allais me jeter au sol ne réalisant pas qu’il était grouillé de sangsues lui aussi…

Vous savez le moment où on a tellement peur de quelque chose, que vous savez pas comment vous en sortir et qu’en fait vous avez l’impression que ça ne fait qu’empirer alors qu’en fait ce n’est que votre imagination ? J’avais tellement peur que je n’arrivais plus à rester en place et encore moins à me calmer… L’image des sangsues me suçant le sang me rendait tout simplement folle ce qui aura pour conséquence que je dis merde aux randos pour la journée et que nous finirons par passer l’après-midi sur la plage avec nos K-Way 🙂 Tout le mérite va à Anna dont je suis encore reconnaissante de m’avoir aidé à sortir vivante sans aucune suceuse de sang accroché à mes jambes et d’avoir même enlevé des sangsues coincées dans la doublure de ma chaussure ! (un conseil pour ceux qui s’apprêtent à faire des randos en montagne en Asie ou Océanie : prenez des chaussures de marche donc le rabais du milieu (le bout de tissu placé sous les lacets) est relié avec le reste des chaussures, car juste dans cette pliure, Anna a extirpé quoi 3 sangsues… imaginé sans la doublure où elles auraient été ?)

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IMGP2273  au moins le positif : on aura vu des wallabies 🙂

IMGP2310 = centre d’Adventure Bay : consistant à la 2 eme superette de Bruny Island

IMGP2286 qui a dit qu’on ne pouvait pas profiter de la plage avec la pluie 🙂

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Ayant eu froid, très froid la nuit précédente, nous ne camperons finalement pas à Cloudy Bay comme il en avait été convenu mais chez un ami à Jo, le propriétaire de la Cheese Company de l’île :). Petite soirée autour de bières de Mona que Jo avait amené avec lui et fromage 🙂 que demander de plus ? ah oui du pain cuit au feu de bois 🙂

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Quand on vous dit qu’en Tasmanie il fait froid, c’est peu dire, cette deuxième nuit sous la tente, nous avons juste pas dormi à cause du froid et ce même avec une couverture de survie si bien que le dernier soir nous décidâmes de dormir là à l’intérieur de la Cheese Company, ce qui au final ne sera pas mieux et ce même à l’intérieur. Personne n’osait bouger pensant que les autres dormaient, la couverture de survie faisant extrêmement beaucoup de bruit.

La troisième journée, notre but de la journée étant de descendre tout au sud, au Cape Bruny Lighthouse, le phare de l’île : en gros LE truc à faire sur l’île et de rejoindre Jo à notre camping spot à Jetty Beach. Après avoir eu un peu de doute vu le peu de voiture qu’on croisait par rapport au premier jour, et marchait plus de 2h, on est heureusement arrivée à notre phare avec une voiture qui chanceuse comme on est nous aura même amené jusqu’à notre camping.

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DSC08521 comme un petit air se savane, les lions et girafes manquants 🙂 d’ailleurs ceci dit en passant, Jo originaire d’Afrique du Sud, nous avait dit que beaucoup d’Africains du Sud habitaient en Tasmanie, car cela ressemblait beaucoup à l’Afrique du Sud

DSC08531   Cloudy Bay

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Quelques faits historiques :

Le phare fut le 4ème construit en Australie (1er phare construit en 1818 à l’entrée de Sydney). Sa construction débuta en 1836 et il fut mis en fonction dès 1838.

Possédé et contrôlé par la Tasmanie jusqu’en 1915, il passa ensuite sous la responsabilité du gouvernement du Commonwealth et automatisé en 1996.

A l’origine, la lampe consistait en 15 petites lampes à huile fonctionnant avec du sperme de baleine, connu alors comme étant la meilleur mais aussi la plus cher.

Dans les années 60, la lumière du phare fut convertie en électricité ce qui permettait au gardien de phare de ne plus devoir y rester toute la nuit. Elle fut remplacée par une lampe solaire en 1996.

La plupart des gardiens du phare étaient des anciens de la marine sachant notamment maîtrisé le morse et autre technique nécessaire dans la vie d’un gardien de phare.

La famille du gardien de phare ne l’accompagna que très tard, après que le gouvernement se soit rendu compte que faire venir la famille était un facteur de stabilité. Mise à contribution, ils étaient le plus souvent non rémunéré. Exemple parmi d’autre : la femme qui aide avec les reports météorologiques…

Leur niveau de vie était aussi très sommaire. Tout docteur se trouvant à des kilomètres, beaucoup d’enfants en bas âge mourraient. Au phare il y aura 2 décés relaté : celui d’un bébé sans nom âgé de 6 mois mort d’une diarrhée infantile et celui de Christine Merrick, âge de 2 ans

John Cook fut le dernier gardien du phare. Il commenta sur l’isolation de sa famille par cette phrase :

« I didn’t see money for years. I just never use dit so I wasn’t used to currency. I didn’t know how much things had gone up and I didn’t know how to drive » (Mercury, 18/10/2003)

DSC08549 vue sur le Cap Bruny Lighthouse depuis le pick up 🙂

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Une fois arrivée à Jetty Beach,  nous en avons profité pour se faire une rando « Luggaboine Circuit » que je recommande à tous ceux se rendant à Bruny Island 🙂  parce que la plage en fin de rando est tout simplement sublime : une de mes top 5 pour le moment 🙂 Imaginez que vous marchez à travers des plaines, des paysages où tout semble avoir brûlé, à travers des forêts, ou encore le long de la côte avec à votre gauche la mer pour vous accompagner et que tout à coup à travers les arbres, vous apercez une plage déserte avec une eau des plus turquoises que vous arrivez pas à mettre les mots tellement vous êtes surpris de voir cette vue après 2h de marche. Jetty Beach se trouve devant vous et c’est sans mot que vous descendez jusqu’à poser vos pieds sur le sable 🙂

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N’ayant finalement pas campé la nuit d’avant à Jetty Beach, Jo tenait absolument à nous montrer Cloudy Corner qui était selon lui son « camp site » préféré avant qu’on quitte l’île le lendemain matin. Et il n’avait pas tort.

 

Cloudy Corner, c’était aussi la deuxième fois après Clifton Beach à Hobart, que j’avais une impression de me sentir en Irlande. Autant vous dire mon degré d’happiness 😉

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En espérant vous avoir fait voyagé jusque Bruny Island 🙂 prochain article : road trip sur la côte est de la Tasmanie…

8 Commentaires

  1. Poulette!!! Je profite du nouvel IPAD (hehe) que ma mère a acheté pour enfin lire tranquillouu sur le divan tes aventures extraordinaires !! J’ai trop ri avec l’histoire des sangsues – je t’imaginais trop te rouler sur le sol en train d’hurler ta vie – bon heureusement que tu ne l’as pas fait et que tout s’est bien termine! C’est vrai que certains paysages faisaient penser à l’Irlande. Je suis tellement heureuse pour toi que tu visites autant de lieux naturels et magiques TU NOUS MANQUEs !!!! Plein de bisous notre bourlingueuse préférée !!!

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  2. Pingback: Bilan après 1 an | colombefreiontheroad

  3. Pingback: Roadtrip de Sydney à Brisbane | colombefreiontheroad

  4. Pingback: Tasmania: Bruny Lighthouse: for the ones who are curious how is it to live on a lighthouse | colombefrei on the road

  5. belle découverte ! et bravo pour l’aventure.. mais un peu trop d’influence anglo-saxonne dans ce coin du monde, mais je pense que j’aurais adoré la nature aussi ! bonne continuation, à bientôt de vous lire !

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  6. Hello,
    Petite question lors de l’arrivée des pingouins, on peut être sur la plage ?
    Merci pour l’article en tout cas, nous sommes un couple en roadtrip et nous allons faire la Tasmanie en janvier.

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    • Bonjour, non sinon ça les effraierait et les mamans pingouins ne reviendraient plus nourrir leurs petits – de plus on risquerait d’endommager les habitats + n’utiliser pas de torches ou de flash pour les prendre en photos !!!
      (petit plus d’aller les voir au nord de l’île à Stanley parce qu’il y a des volontaires vous expliquant tout !)
      – sur Bruny Island vous êtes sur un ponton (si vous avez des bateaux de pêches accostés au large, les pingouins se montreront moins par contre)
      -à Stanley, vous avez un petit tour avec des volontaires et ça marche sur une base de donation : je vous recommande vivement de faire ce dernier 🙂

      Faites attention à la saison mais décembre janvier devrait être la bonne saison 😉

      Bon voyage en Tasmanie 🙂

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